Alfred a beaucoup de travail. Compte tenu de son âge, il ne prend pas de grands risques et garde délibérément son activité à petite échelle en vue de sa retraite. Il n'a pas non plus envie de travailler avec beaucoup d'ouvriers, il faudrait qu'il s'agrandisse trop et prenne des employés comme au bon vieux temps d'Hemiksem. Parfois, il doit réprimander les travailleurs (deux d'entre eux) qui ne font pas leur travail correctement. Alfred paie bien (il l'a toujours fait) mais n'exige rien de moins que la perfection. Lorsqu'il entend parler d'une verrerie qui cherche un directeur, il est le premier à postuler, même s'il a déjà 61 ans. Voir candidature à l'emploi.

Malgré le fait que Schnichels soit l'un de ses principaux clients, Alfred ne recule pas devant une discussion et n'a pas peur d'utiliser un langage dur. Et pourtant, Schnichels continue de commander malgré la dureté des échanges écrits. Voir Schnichels.

L'économie s'essouffle un peu et le système de paiement s'en ressent. Alfred lui-même paie toujours ses fournisseurs à temps. S'il rencontre un problème, il les contacte immédiatement et leur indique ce qui est possible, puis tient sa promesse. Ses clients, par contre, se cachent facilement. Connaissant Alfred, il n'est pas tendre si vous le trompez, il vous lira les lévites à sa manière. Voir rappels de paiement.

Il a également des problèmes avec la compagnie d'assurance maladie. Comme ils ne répondent pas à ses questions, il change rapidement d'assurance. Voir assurance maladie.

Cela fait un moment que Jochmann n'est plus dans le coup. Alfred reçoit une carte de Murano en Italie. Le commentaire qu'il écrit en rouge dit tout. Jr. l'a déçu à l'époque. Alfred a uniquement une haute opinion de son père. Voir Jochmann jr.

Dans l'ensemble, 1967 ne roule pas sur des roulettes mais il parvient à se maintenir.