Wilhelmina est décédée à l'hôpital de Duffel suite à la défaillance de ses organes. Elle a été dépendante pendant des années des poudres populaires du Dr Mann, qui l'ont fait sombrer. Voir dr. Mann. Après le divorce effectif d'Alfred, elle avait trouvé la paix en rencontrant en 1954 un veuf, Louis Van den Bulk, avec qui elle était heureuse. Malheureusement, ce bonheur ne durera pas longtemps, car son compagnon de vie décède. Il ne lui restait plus qu'à travailler comme serveuse au café Luna, dans la Statiestraat, 37 à Anvers en 1962. Elle a vécu un certain temps avec sa fille et est finalement décédée à l'hôpital Duffel. Sa fille rapportait toujours les événements importants par lettre ou télégramme à son père, même s'ils n'avaient aucun contact entre eux.


Dans une réponse à Schnichels à propos d'un différend, il cite la mort de sa femme. Il est plein de colère refoulée. Pourtant, Wilhelmina Koos était la femme de sa vie. Sa jalousie pathologique, nourrie par une peur de l'abandon, et une voyante charlatane coûtant beaucoup d'argent, ont tout gâché. Alfred n'a découvert ce dernier qu'à Grevenmacher, alors qu'ils étaient effectivement séparés. Ils n'avaient rien à perdre en dirigeant AJEKO à Hemiksem, mais le démon de la jalousie a poussé Wilhelmina au désespoir. Cela s'est manifesté par des gifles aux employés, des insultes, etc. À un moment donné, elle a quitté le domicile et a fait procéder à une saisie, à la suite de quoi Alfred a été mis en cessation d'activité pendant six mois, sans production, sans revenu, avec perte de contrat et des coûts salariaux de ses meilleurs éléments, qu'il a continué à payer, etc. Après une réconciliation, ils se sont rendus à Grevenmacher où les choses ont à nouveau mal tourné. Il a alors fortement hésité à la reprendre, mais il a compris que cela l'abaisserait et a changé son cœur en pierre. 15 ans plus tard, il a très présent à l'esprit qu'il a tout perdu à cause de la jalousie pathologique de sa femme.